60-61:la grève du siècle
Chers camarades, chers amis,
De l’hiver 60-61 à l’hiver 2010-2011, le monde a beaucoup changé…mais les travailleurs doivent toujours lutter pour défendre leurs droits.
Hiver 60-61 : la classe ouvrière s’est mobilisée pendant de longues semaines pour s’opposer aux mesures iniques de ce qu’on appelait la loi unique. Ce mouvement exceptionnel dans son ampleur et ses objectifs a été appelé la Grande Grève ou la Grève du Siècle.
Hiver 2010-2011…nous allons devoir à nouveau nous battre pour défendre nos acquis face à un patronat de plus en plus arrogant et une politique néolibérale : AIP imbuvable, remise en cause de l’index, mesures d’austérité,…
Il est important de se souvenir des combats du passé si l’on veut affronter les défis d’aujourd’hui.
Nous vous invitons donc à nous retrouver ce 13 février à Arlon à partir de 14h00. Nous avons tout prévu pour joindre l’utile à l’agréable : exposition, petit film suivi d’un débat avec des acteurs de l’époque et même une garderie pour ceux qui souhaitent venir en famille.
Bien à vous,
Joël THIRY
Secrétaire Régional Interprofessionnel.
Il est temps que nous pensions à nous, comment dans un monde aussi inégal pour certaines personnes , surtout les moins nantis d’entre-nous, les laissés pour comptes, qui sont les « SANS ».
Sans travail, sans revenu, sans logement. Ceux qui travaillent durs sans salaire correct, ceux qui rament pour vivre décemment, Ceux qui ne peuvent plus se permettre d’envoyer leurs enfants aux
études hors de prix, Ceux qui vivent à la rue faute de moyens suffisant pour un logement.
Il est temps les ami(e)s de se réveiller et de se battre pour garder les avantages acquis par les luttes de nos parents pour nous faire un monde meilleur.
En se moment on détricote au fur et à mesure la totalité de ce que nos parents ont gagnés pour nous.
Ne nous laissons pas faire et réagissons, n’ayons pas peur, ce n’est pas en restant assis à râler sur ce qui nous arrive que nous aurons gain de cause.
En ce moment, c’est le patronat qui gagne sur toute la ligne.
C’est le patronat qui s’enrichit sans rien vous donner en échange des richesses qu’ils accumulent, c’est le patronat qui menace de s’en aller ailleurs et qui fait flipper tous les travailleurs.
Sans « NOUS » le patronat ne peut fonctionner, sans « NOUS » les patrons sont perdants, qu’ils nous menacent de partir ailleurs et alors !
La lutte pour garder les outils chez nous cela s’est déjà vu, les occupations d’entreprises aussi. C’est ensemble tous unis que nous y arriverons.
La vie, c’est une lutte incessante pour toujours l’améliorer.
Il est temps de vivre nos rêves et non de rêver nos vies.